jean a bien résumé le cas.
Au rayon voiles traditionnelles, il y a des nuances, pour certaines importantes.
Je ne prendrais que ces deux exemples, extraits du site
http://www.mandragore2.net/
"Les yoles de l'île de Ness, dans l'archipel des Shetland, étaient à l'origine des bateaux de pêche à l'aviron et à la voile.
Héritières des drakkars vikings, ces petites embarcations d'environ 7 mètres de long, très stables, étaient adaptées aux conditions météorologiques et de navigation souvent difficiles dans les eaux du "Cap du raz rugissant" (Dunrossness).
La yole de Ness est construite à clin et gréée d'une voile au tiers."***
"Le terme de tartane, d'origine obscure, entre dans le langage commun au XVIIe siècle pour désigner une barque de négoce et de transport.
On retrouve le mot tartane aussi bien en catalan qu'en espagnol, italien et portugais, ce qui n'est pas le cas des autres noms de bateaux latins comme la bette, le mourre de pouar ou la catalane, plus spécialisés, et surtout naviguant dans un périmètre très restreint…
…Ensuite, on voit apparaître, entre Cannes et Marseille, la voile aurique à rideau. Emprunté, semble-t-il aux navicelli italiens, ce type de gréement facilitait la manœuvre du fait de la suppression de l'antenne et la division de la voilure."Je dirais que la voilure présentée est le résultat d'un mélange et d'une évolution…
laurent.